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Smart renoue avec ses origines en délaissant les SUV pour lancer un nouveau biplace à prix attractif sous l’égide de Geely, visant le segment des 25 000 euros

Entre le crépitement de l’asphalte et la frénésie urbaine, une légende moderne prépare son retour : Smart, marque emblématique des citadines, dévoile enfin sa stratégie pour reconquérir le cœur des conducteurs. Plutôt que de poursuivre la course aux SUV imposants, la filiale mi-européenne, mi-chinoise, opte pour une vraie rupture. Sous la houlette industrielle de Geely, Smart remet au goût du jour la petite biplace électrique, taillée pour la jungle urbaine, à un tarif que même les citadins les plus pragmatiques pourront envisager : autour de 25 000 euros. Alors que la concurrence de Renault, Peugeot ou Fiat fait rage sur le segment A, la nouvelle Smart #2 entend réveiller un marché qui rêvait depuis longtemps d’un retour aux origines. Cette démocratisation de la “micro-citadine” à l’électrique pourrait bien bouleverser durablement la mobilité en ville, là où la compacité et la praticité priment sur tout le reste.

Le grand retour de la citadine iconique : Smart #2 face à l’histoire automobile

Revenir à l’essence même de ce qui a fait la réussite de la Smart, ce n’est pas banal. Ce pari, à contre-courant de la vague SUV, intrigue autant qu’il attise la curiosité. Mais pourquoi ce segment des micro-citadines est-il si symbolique, et que représente réellement la Smart #2 pour le marché européen en 2026 ?

Petit flashback nostalgique : à la fin des années 90, alors que les villes explosent et que la circulation devient un casse-tête, Mercedes lance la Smart Fortwo. Son format minuscule, son rayon de braquage imbattable et son look unique séduisent immédiatement une clientèle urbaine lassée des modèles trop encombrants. En conciliant praticité et design avant-gardiste, cette pionnière bouleverse alors profondément la notion de mobilité urbaine.

  • Format inédit : à l’époque, aucun constructeur n’a osé le pari du tout-petit sur deux places.
  • Impact urbain : la Smart Fortwo se gare partout et se faufile là où seules les motos s’aventurent d’ordinaire.
  • Cible jeune et dynamique : son design fun et personnalisable en fait un objet de mode autant qu’un moyen de transport efficace.

Vingt-cinq ans plus tard, le contexte a radicalement changé mais la problématique reste : comment se déplacer en ville sans stress, sans pollution, et avec un budget contenu ? Alors que même des citadines estampillées Peugeot, Citroën ou Fiat s’embourgeoisent et s’agrandissent, la nouvelle Smart #2 promet un retour aux fondamentaux. Son format ultra-compact (découvrez les coulisses de la renaissance de la Smart) contraste radicalement avec les Smart #1 et #3, plus imposantes et s’inspirant des SUV chinois actuels.

La décision de Geely – désormais partenaire industriel de Mercedes pour Smart – de repositionner la gamme avec une #2 revient à s’appuyer sur le poids de l’héritage, mais en version électrifiée pour répondre aux impératifs écologiques contemporains. Cette renaissance vise à toucher une nouvelle génération, tout en s’adressant aussi aux nostalgiques des premières Fortwo. Pour eux, c’est “le retour d’une icône” : comprenez une Smart qui redevient la référence en matière de micro-mobilité, capable de s’opposer à des concurrentes toujours plus raffinées chez Mini, Toyota, Volkswagen ou Honda.

  1. Un design qui assume la rupture, aux antipodes de la tendance SUV.
  2. Un gabarit inédit sur le segment électrique biplace.
  3. Une promesse tarifaire forte : de 20 000 à 25 000 euros selon les versions.

On ne peut qu’être frappé par l’audace de Geely et Smart, qui misent sur une niche forte en identité plutôt que de suivre la mode dominante. La Smart #2 ne vient pas simplement retrouver les trottoirs, elle ambitionne de réinventer tout un mode de vie. À quand la réaction des ténors européens ?

De la Fortwo à la Smart #2 : héritage technique et adaptation moderne

L’évolution de la Smart Fortwo vers la #2 n’est pas qu’une affaire d’apparence. L’architecture même du véhicule s’adapte aux impératifs de l’électrique : batteries compactes sous plancher, traction optimisée, aides à la conduite dernier cri. Difficile d’ignorer l’impact de l’expertise de Geely sur la partie électrique et digitale !

Les anecdotes pleuvent déjà sur les forums : certains collectionneurs partagent leurs souvenirs de la toute première Fortwo, d’autres imaginent la #2 comme une future “youngtimer électrique”. Une preuve de plus que l’émotion et l’histoire jouent à plein dans ce revival. Mais au-delà de la nostalgie, il s’agit aussi d’être compétitif face à l’innovation : la Smart doit rivaliser sur le plan technique avec les micro-citadines électriques comme la Renault Twingo E-Tech, la nouvelle Fiat 500 ou les modèles compacts de Honda et Volkswagen, sans oublier l’irrésistible Mini Cooper SE.

  • Mises à jour logicielles à distance
  • Assistant vocal dernier cri
  • Régénération au freinage intelligente
  • Tableau de bord digitalisé
  • Application mobile pour gérer la recharge

L’ambition est claire : offrir de la praticité, mais aussi le plaisir de rouler dans une biplace électrique qui ne soit ni austère ni dépouillée. On s’approche du rêve de l’épicurien urbain, qui veut tout : la facilité, la technologie, et le style.

Une riposte à la surenchère des SUV : le choix stratégique de Smart et Geely

Dans le paysage automobile actuel, l’engouement pour les SUV frôle parfois la caricature. Toutes les marques, de Peugeot à Citroën en passant par Fiat ou Renault, ont succombé aux appels du format haut-perché. Pourtant, le constat est cinglant : les citadins n’identifient pas toujours le SUV comme le partenaire idéal pour la ville. Stationnement ardu, consommation supérieure, poids excessif, tous ces critères commencent sérieusement à lasser.

Smart, adossé à Geely, l’a bien compris. La #2 naît de cette volonté de sortir du troupeau pour proposer une voiture “taillée pour la ville”, dans l’esprit fondateur de la marque – et ce n’est pas une mince affaire. Ce positionnement s’inscrit dans une tendance européenne de retour au raisonnable, où l’on ose préférer l’agilité à la prestance, le minimalisme à la débauche d’espace inutile.

  • Réduction de l’empreinte au sol pour dompter la densité urbaine.
  • Facilité à se faufiler dans le trafic et à trouver une place – même à Paris ou Milan.
  • Une autonomie pensée pour le quotidien (150 à 200 km annoncés, suffisant pour la semaine type d’un citadin).
  • Missions courtes, grand confort : de nombreuses options de personnalisation prévues.

Opposée frontalement aux SUV compacts – et même aux petites citadines actuelles qui “ont grossi”, la Smart #2 joue la carte de la pureté fonctionnelle. Les journalistes du secteur applaudissent la démarche – en témoigne ce reportage détaillé de L’Auto Journal sur la philosophie de ce retour aux sources.

  1. Moins de pollution : zéro émission locale, filtre antiparticules dernière génération.
  2. Moins de stress urbain : rayon de braquage imbattable, stationnement “impossible” devenu “possible”.
  3. Moins de suréquipement inutile : chaque option a vocation à servir réellement la vie urbaine.

On regrettera sûrement encore la “folie” des premiers concepts, mais dans un monde où le mètre carré est plus cher que jamais, la Smart #2 s’impose comme un modèle de rationalité. Ce choix fort de la marque promet une nouvelle ère aux micro-citadines urbaines.

Le marché européen des micro-citadines à l’assaut du futur

Qui fait de l’ombre aujourd’hui à la Smart #2 ? Sur ce mini-segment des urbaines ultra-compacts, la concurrence s’aiguise. Volkswagen, Honda, Mini, Renault et Peugeot redoublent d’inventivité pour conserver leur part d’un gâteau qui ne cesse pourtant de séduire les décideurs urbains. Les retours enthousiastes glanés à la sortie des salons automobiles prouvent que la demande existe : pour les professionnels nomades, les plateformes de livraison ou encore les étudiants, une micro-citadine électrique, abordable et fiable reste “le graal absolu”.

  • La Renault Twingo nouveau cru, bientôt 100 % électrique
  • La Peugeot E-208, moins compacte mais technologiquement avancée
  • La Fiat 500e, reine du néo-rétro
  • La Mini Cooper SE, le mythe en version premium

De quoi inciter tous les constructeurs à repenser leur gamme. Un vent nouveau souffle donc sur la citadine, d’autant que les contraintes écologiques et les ZFE (zones à faibles émissions) renforcent la pertinence d’un modèle aussi pragmatique que la prochaine Smart.

Pour aller plus loin et suivre l’actualité brûlante des dernières annonces Smart, cet article d’Actu Automobile détaille l’impact d’un tel retour sur le marché européen. Si le choix de sortir du lot n’était pas sans risque, la riposte pourrait monter très vite : les urbaines électriques séduisent à nouveau, les parkings n’attendent qu’elles.

Un prix cible crédible : la Smart #2 défie la démocratisation de l’électrique à 25 000 euros

L’accessibilité financière reste sans doute le nerf de la guerre pour cette nouvelle Smart. Là où la précédente génération de Fortwo et sa cousine Forfour peinaient à trouver leur public à cause d’une inflation tarifaire galopante, la #2 promet un positionnement choc : entre 20 000 et 25 000 euros. C’est une prouesse, compte tenu des technologies embarquées et de l’autonomie annoncée.

La stratégie tarifaire s’appuie sur plusieurs leviers : mutualisation industrielle avec Geely, optimisation des coûts de fabrication par l’usage de plateformes partagées, et baisse progressive du prix des cellules batteries sur les chaînes asiatiques. Le tout avec la volonté assumée de ne pas sacrifier la qualité perçue, encore moins la sécurité : deux sujets où Mercedes et Geely ne transigent jamais.

  • Positionnement tarifaire agressif pour concurrencer Fiat, Mini et Volkswagen sur le segment des électriques d’entrée de gamme.
  • Offres de location longue durée adaptées aux jeunes actifs et urbains.
  • Grande variété d’options pour personnaliser sa citadine sans exploser le budget.
  • Entretien simplifié grâce à une architecture mécanique moins complexe que les générations thermiques.

Les aides à l’achat et primes à la conversion prévues dans plusieurs pays européens pourraient même rendre la Smart #2 bien plus abordable qu’on ne croit. Un argument choc pour tous ceux qui estimaient impossible de rouler “branché” sans sacrifice financier. Et la concurrence ? Renault, Peugeot, même Honda ou Toyota devront affûter leurs stratégies commerciales pour s’aligner sur ce ticket d’entrée. Le combat du “prix plancher” dans l’électrique n’a jamais autant mérité son nom.

Pour les plus curieux, cette analyse sur Caradisiac détaille les arbitrages opérés par la marque et Geely pour rendre viable un modèle aussi abordable. Elle permet aussi de relativiser : un véhicule à 20 000 euros en version de base, c’est possible, mais il faudra composer avec un équipement de série mesuré.

  1. Conserver la simplicité tout en permettant un catalogue d’options riche pour les plus exigeants.
  2. Garantir une autonomie urbaine réelle et éviter la “course aux kilomètres inutiles”.
  3. Maintenir des coûts d’utilisation bas, que ce soit à l’achat ou à la revente.

Dans la réalité quotidienne d’un étudiant, d’un citadin ou d’un livreur urbain, ce choix économique peut faire la différence : la Smart #2 s’ouvre ainsi à une toute nouvelle audience, bien au-delà du cliché bobo de la micro-citadine branchée.

Pour naviguer entre les dernières indiscrétions, concept teasers et premières images, Automobile-Propre fait le point sur les arbitrages de cette révolution tarifaire.

Location, financement, coût total d’utilisation : la Smart #2 démocratise l’électrique en ville

Un autre chantier de fond accompagne ce virage stratégique : la multiplication des solutions de financement. Pour séduire les populations jeunes ou précaires, la marque mise sur des formules créatives : abonnement tout compris, LLD attractive, leasing étudiant… Le but ? Toucher tous ceux qui pensaient jusqu’ici que l’électrique restait réservé à une élite.

  • Formules d’abonnement incluant entretien, assurance et recharge.
  • Forfaits adaptés aux professionnels des centres-villes.
  • Paiements mensualisés sur trois ou cinq ans, avec option d’achat ou de restitution.

Le coût réel du passage à l’électrique se démocratise, et la Smart #2 s’impose comme le symbole d’une mobilité repensée pour les centres-villes européens, de Berlin à Paris en passant par Milan. Pour celui ou celle qui “pense Urbain”, il n’y a plus besoin de sacrifier technologie ni portefeuille pour rouler branché.

Rendez-vous sur le site média officiel Smart pour suivre toutes les annonces tarifaires et packages à venir.

Smart #2 : entre innovation digitale et “urban-lifestyle”, la micro-citadine nouvelle génération

La Smart #2 ne se contente pas d’incarner le retour au micro-format, elle s’impose comme un véritable concentré d’innovations digitales. Ce “couteau suisse des villes” résume à lui seul la volonté de Smart (et de Geely) de ne plus se contenter du cliché de la voiture très compacte : ici, tout a été conçu pour le quotidien connecté.

L’habitacle, bien que réduit, n’a rien à envier à celui d’une compacte : écrans tactiles généreux, commande vocale intelligente, compatibilité smartphone à tous les étages, et même possibilité de gérer la clim ou l’ouverture à distance. Cela va bien plus loin qu’une simple Smart “moderne” : on entre dans le monde de la mobilité-servicielle.

  • Application mobile dédiée pour localiser, préchauffer ou recharger la voiture à distance.
  • Tableau de bord 100 % digital, inspiré des standards Mercedes et Geely.
  • Nombreuses prises et ports pour brancher ses appareils électroniques.
  • Fonctionnalités de sécurité avancées (freinage d’urgence autonome, lecture des panneaux, etc.).

À titre d’exemple, Clara, jeune startuppeuse parisienne, craque pour la #2 : elle apprécie la navigation ultra-connectée, qui lui permet de trouver rapidement une place ou d’éviter les bouchons grâce à une infrastructure numérique pensée pour la ville d’aujourd’hui. Et il ne s’agit pas d’un simple gadget, mais d’une véritable révolution du lifestyle urbain : recharge rapide dans les parkings, notifications d’entretien via smartphone, partage de véhicule facilité avec les voisins de son immeuble.

Cette orientation ultra-digitale s’inscrit dans une évolution générale des comportements urbains. Les micro-citadines comme la Smart #2 deviennent de plus en plus attractives pour les flottes professionnelles, les services d’autopartage ou encore les locations courtes durées. On imagine facilement demain un parc de cent Smart #2 électriques sillonnant les ruelles étroites du Marais ou de la vieille ville de Rome, là où même les scooters peinent à trouver leur chemin.

Pour un aperçu visuel de ce renouveau, GarageOuvert propose une galerie de concepts très inspirants autour du design de l’icône nouvelle génération.

  1. Un style extérieur affirmé, très reconnaissable, avec options de carrosseries bicolores.
  2. Un intérieur “open space” repensé pour le numérique.
  3. Une customisation poussée pour adapter la Smart #2 à tous les usages du XXIe siècle.

Loin de la rigueur des premières micro-urbaines, la Smart #2 inaugure une nouvelle manière de penser la voiture. Plus connectée, plus branchée, mais toujours centrée sur la praticité – voilà la recette du succès pour Smart, Geely, et bientôt toute la concurrence de Renault, Peugeot, Citroën, Fiat ou Honda.

À noter que cet engouement pour les deux-places inspirera peut-être aussi d’autres pratiques, y compris dans le secteur moto. Pour rester à la pointe sur les nouveautés dans la mobilité légère et urbaine, jetez un œil à l’analyse dédiée à la réglementation moto et passager sur GarageOuvert.

Véritable pont entre le passé iconique et le futur digital, la Smart #2 démontre que le charme des micro-citadines n’a rien perdu de sa superbe à l’aube d’une nouvelle décennie urbaine.

En savoir plus sur l’annonce de la #2

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