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La Smart #5 s’apprête à devenir moins dépendante de l’électrique

La Smart #5, ce SUV à la croisée des chemins, incarne aujourd’hui la nouvelle stratégie d’une marque pionnière souvent associée à la micro-mobilité urbaine. Face à la baisse de l’engouement pour les modèles 100 % électriques, notamment sur le marché chinois, la Smart #5 rompt avec l’exclusivité du tout-électrique. Elle s’apprête à intégrer une version hybride rechargeable très attendue, qui pourrait bouleverser la donne et inspirer Renault, Peugeot ou encore Volkswagen à revoir leurs approches. Entre la promesse d’une autonomie extrême, la polyvalence, et la bataille des grandes marques mondiales (de Toyota à BMW), ce véhicule s’impose comme un laboratoire roulant des nouvelles attentes automobiles. Comment Smart tord le cou aux certitudes sur l’électromobilité, et que signifie ce virage pour ses rivaux historiques et l’ensemble du secteur ? Décryptage haletant et carnet de route dans les coulisses d’une mutation technique sans précédent.

Smart #5 hybride rechargeable : le virage stratégique de la marque

La Smart #5 s’arme pour 2025 d’une double motorisation qui symbolise à elle seule les nouveaux équilibres du marché mondial. Si Smart avait misé toutes ses billes sur l’électrique au début des années 2020, la marque fait, aujourd’hui, le choix pragmatique d’élargir sa palette. Un pari dicté par la réalité des ventes, comme le démontre la chute de 19 % constatée en Chine récemment, conséquence directe du reflux de la demande sur le 100 % électrique au profit de solutions hybrides.

Concrètement, la Smart #5 devient un SUV polyvalent. À côté de ses puissantes motorisations électriques (jusqu’à 638 chevaux et une gigantesque batterie de 100 kWh), elle accueille une version hybride rechargeable tout aussi ambitieuse. Grâce à l’introduction d’un bloc thermique associé à un imposant accumulateur, la Smart #5 revendique une autonomie cumulée dépassant 1 000 km, reléguant les angoisses liées à la recharge au rang des souvenirs.

  • Réactivité au marché : Smart s’inspire de ses concurrents, notamment Toyota qui a longtemps dominé l’hybride avec la Prius, ou encore Ford et ses modèles PHEV.
  • Polyvalence d’usage : Elle cherche à convaincre ceux pour qui l’autonomie reste un frein, mais aussi les flottes d’entreprises à la recherche de flexibilité.
  • Mesure d’audience : Les analyses font état d’un intérêt croissant pour les hybrides en Chine, un mouvement souvent suivi par l’Europe avec Renault ou Peugeot.

Si on observe la trajectoire de la marque Smart en 2025, ce n’est en aucun cas un recul, mais une adaptation tactique. L’abandon du 100 % électrique pour revenir à l’hybride rechargeable, tel que le propose désormais la Smart #5, est une réponse directe aux attentes et aux préoccupations du marché. Cette approche permet également à Smart de marquer sa différence face à Nissan ou Hyundai, qui n’ont jamais totalement abandonné les thermiques.

Des propositions plus détaillées de la gamme sont consultables dans cette analyse dédiée, qui dissèque les configurations et explique pourquoi le constructeur vise autant les familles urbaines que les adeptes de la route.

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En changeant de cap, la Smart #5 compte bien inspirer d’autres acteurs à adopter une démarche moins dogmatique. Renault, déjà présent dans l’hybride avec ses Captur E-Tech, ou Volkswagen, qui jongle entre électrique et PHEV, observent de près cette initiative. Il convient aussi de rappeler que Citroën et Peugeot offrent déjà des hybrides rechargeables avec un certain succès, tandis que BMW capitalise sur ses séries « e » mixtes depuis des années.

  • Innovations visibles dans l’espace à bord : 34 compartiments de rangement, un coffre généreux de 630 litres (jusqu’à 1 530 litres banquette rabattue),
  • Batterie promettant autonomie accrue : comparez d’ailleurs les critères de choix d’une batterie ici.
  • Empattement (2,90 m) rivalisant avec des modèles plus imposants comme ceux de BMW ou Ford.

En laissant la porte ouverte à l’hybride, la Smart #5 rappelle que l’électrique pur n’est qu’une des pièces du puzzle de l’automobile du futur. Ce revirement inspire déjà des questions sur l’équilibre parfait entre autonomie, respect de l’environnement et plaisir de conduire – le tout sans négliger la technologie embarquée.

Une polyvalence accrue : SUV familial et technologique à la conquête du marché

Dans la jungle des SUV, la Smart #5 n’a rien du simple outsider. Son positionnement familial et high-tech bouscule les préjugés. On est loin des minis urbaines synonymes de la marque il y a une décennie. Les ingénieurs ont joué la carte de l’innovation en mariant à la fois praticité, confort, et technologie.

Avec son empattement de près de 2,9 mètres, la Smart #5 joue dans la cour des grands, flirtant sur le territoire d’un BMW X5 ou d’un Volkswagen Touareg. Elle séduit par un coffre arrière de 630 litres extensible à plus de 1 500 litres, en passant par 34 espaces de rangement disséminés dans l’habitacle. Le détail qui fait la différence pour les parents ? Le petit coffre avant (72 litres en traction, 47 en version 4×4), beaucoup plus accessible pour les sacs de crèche ou les affaires de sport.

  • Confort familial : banquette rabattable, rangements adaptés, volume de chargement parmi les meilleurs du segment.
  • Technologie embarquée : navigation GPS intégrée. Pour ceux qui veulent upgrader : voir les dernières innovations GPS adaptées à la Smart #5.
  • Services connectés, interfaces sur dalle tactile géante, compatibilité avec les applications mobiles des grandes marques.

Citroën l’a prouvé avec son C5 Aircross hybride rechargeable, ou Peugeot avec le 3008 Hybrid : le mix du thermique et de l’électrique n’est plus un gadget, mais bien une réponse concrète aux besoins quotidiens. La Smart #5 capitalise aussi sur l’expérience client, en proposant une conduite semi-autonome, le préchauffage à distance ou encore des mises à jour à distance du système embarqué.

Ce regain de modularité s’observe dans tous les compartiments du véhicule. Le conducteur peut passer d’un mode tout électrique (pour les trajets maison-école-boulot) à une utilisation hybride pour les départs en vacances – une transition d’autant plus fluide que la recharge de la batterie est facilitée par la présence du moteur thermique comme générateur d’appoint.

  • Accessibilité des familles : large ouverture des portes, sièges coulissants, fixations Isofix partout et compatibilité poussettes.
  • Concurrence sur l’espace à bord : rivalise sans rougir avec le Tucson de Hyundai ou le Nissan Qashqai e-Power.
  • Technologie intuitive : l’interface de la Smart #5 continue de faire l’unanimité auprès des essayeurs, à l’instar de l’ergonomie raffinée de la Toyota RAV4 hybride.

On retrouve même une signature lumineuse qui permet à chaque Smart #5 de s’illustrer dans la circulation, tout en rappelant l’identité « branchée » de la marque. Cette polyvalence, tant dans l’utilisation quotidienne que dans la technologie embarquée, pose la Smart #5 comme une alternative crédible chez tous ceux qui veulent l’électrique… mais pas seulement.

Le contexte mondial : mutation du marché et défi pour les concurrents historiques

Le passage à l’hybride rechargeable n’est pas propre à Smart. En quelques années, le balancier du marché mondial a entraîné de nombreux constructeurs à revoir leur copie. L’exemple de la Smart #5 prouve qu’analyser finement les attentes des clients – et non simplement anticiper des tendances – devient vital.

En Chine, la demande pour les électriques à prolongateur d’autonomie explose alors que les ventes de 100 % électriques fléchissent. Ce phénomène s’observe aussi en Europe : Renault, Peugeot, et Volkswagen ont étoffé leur gamme « hybridée », et même Ford a renforcé sa présence avec des modèles comme le Kuga PHEV. Toyota, pionnier avec la Prius, poursuit sa conquête de nouveaux marchés avec ses RAV4 ou Yaris Cross, toutes deux plébiscitées pour leur robustesse et faible consommation en usage mixte.

  • Segments porteurs : les SUV familiaux hybrides tirent leur épingle du jeu face aux citadines électriques pures.
  • Adaptation aux réglementations : la législation européenne pousse à l’électrification, mais sans imposer une électrification totale. D’où la survie… et l’essor des hybrides.
  • Réponse des clients : usagers sceptiques face aux bornes de recharge, crainte de panne, quête de fiabilité sur longues distances.

BMW a su rebondir en déclinant ses Série 3 et X5 en Plug-in Hybrid (PHEV), tandis que Hyundai et Nissan jonglent avec une gamme large, gardant une partie thermique vivace, synonyme de flexibilité. Dans ce contexte, la Smart #5 injecte un surcroît d’innovation : en optant pour une grosse batterie électrique capable de couvrir les déplacements quotidiens mais doublée d’un moteur thermique pour rassurer les plus prudents.

La compétition fait rage, en témoigne la multiplication des essais croisés et comparatifs entre citadines hybrides et SUV rechargeables, relevés sur les principaux portails tels que Yahoo Actualités ou encore dans un dossier comparatif Caroom avec des valeurs d’autonomie et de coût d’usage passées au crible.

  • Flexibilité de l’utilisateur : pour ceux qui veulent un « deux en un », la Smart #5 fait clairement pencher la balance.
  • Le facteur prix : en hybridant le #5, Smart s’aligne sur les stratégies de Renault ou de Citroën : offrir l’hybride à coût maîtrisé, avec des économies à la pompe.
  • Stratégie industrielle : l’hybride rechargeable conforte la position de Smart sur des marchés-clés… quitte à offrir plus de moteurs thermiques qu’anticipé.

Derrière cette mutation, le fil rouge demeure celui de la transition énergétique progressive, menée sans brutalité, alliée à la promesse – pas toujours respectée par la concurrence – d’un plaisir de conduite sans compromis. Reste à savoir si la Smart #5 ouvrira la voie à d’autres véhicules bousculant les dogmes du 100 % électrique.

Autonomie et expérience utilisateur : la réponse à l’angoisse du kilomètre

L’autonomie, c’est l’obsession des conducteurs d’électrique. La Smart #5 hybride rechargeable y répond frontalement, promettant à la fois plus de 100 km de roulage en mode tout-électrique et jusqu’à 1 000 km cumulés grâce au prolongateur thermique. Cette promesse réconcilie ceux qui sont tentés par l’électrique… et ceux qui ne veulent pas renoncer à l’essence de l’automobile.

Beaucoup redoutent toujours la panne sèche de batterie, surtout lors des longs trajets. Avec sa batterie « XXL » de 100 kWh couplée au moteur thermique, la Smart #5 pallie cette crainte : le thermique prend le relais, recharge l’accumulateur, et multiplie les options. C’est la recette déjà éprouvée avec succès par des marques telles que Peugeot (avec son 3008 Hybrid) ou encore Hyundai (sur le Tucson PHEV), adaptés aux grandes distances.

  • Utilisation quotidienne : la majorité des déplacements est absorbée par la batterie en semaine.
  • Vacances et week-ends : le moteur thermique débloque l’autonomie totale, sans inquiétude pour la recharge sur les aires d’autoroute bondées.
  • Contrôle et anticipation : application mobile permettant de planifier ses parcours, préchauffer l’habitacle à distance ou surveiller la santé de la batterie.

L’expérience utilisateur s’en trouve décuplée. L’habillage sonore du moteur, soigneusement calibré, donne le change aux puristes qui aiment les sensations mécaniques. Les passionnés de technologie préfèreront quant à eux le silence et la douceur de la propulsion électrique.

Pour ceux qui s’interrogent sur la pertinence d’une batterie de grande taille, ou souhaitent comparer leur autonomie réelle avec d’autres modèles, il est vivement conseillé de consulter les analyses de Rouleur Electrique ou le retour utilisateur de AutoPlus.

  • Recharge rapide sur bornes publiques ou domicile, optimisée pour ceux qui ne veulent pas perdre de temps.
  • Anticipation intelligente sur long trajet : calcul automatique des arrêts pour recharger la batterie ou faire le plein.
  • Système de navigation connecté, qui adapte en temps réel l’itinéraire en fonction de la disponibilité des bornes – une technologie déjà mise en avant sur le site Autojournal.

En sortant de l’autoroute de la pureté électrique, la Smart #5 propose une solution hybride qui dessine un nouveau confort de route pour tous ceux qui refusent de choisir entre économie, écologie et liberté. Ce pari n’est pas sans rappeler les stratégies déjà menées par Toyota avec ses hybrides de nouvelle génération.

Enjeux industriels et perspectives : Vers une redéfinition du marché SUV

La Smart #5 marque peut-être le début d’une révolution dans le segment des SUV. Les enjeux dépassent la simple technique : on touche à la réorganisation industrielle, à la refonte des chaînes de production, et à l’évolution des attentes des consommateurs. Le basculement vers l’hybride rechargeable est une réponse aux défis imposés par les nouvelles restrictions environnementales, tout en restant en phase avec la demande réelle.

Ce modèle, en s’équipant d’un moteur Geely performant, prouve que le partenariat franco-germano-chinois de Smart peut rivaliser avec les meilleurs, quelle que soit leur nationalité. Les concurrents historiques (Volkswagen, Renault, Peugeot) doivent désormais composer avec une marque redevenue offensive, capable de puiser dans l’innovation chinoise tout en restant fidèle à ses racines européennes.

  • Modularité industrielle : la même plateforme accueille électrique pur et hybride rechargeable sans surcoût prohibitif.
  • Réduction du CO₂ : la Smart #5 hybride promet de respecter les normes 2025 toutes marques confondues – un argument massif dans les flottes publiques et privées.
  • Ouverture de gamme : en diversifiant son offre, la marque attire une nouvelle clientèle, allie les nostalgiques de la ForTwo et les amateurs de grand SUV façon Ford ou Citroën.

Les observateurs attentifs pointeront la menace que la Smart #5 fait peser sur ses rivaux : d’après plusieurs analyses spécialisées, elle s’impose d’ores et déjà comme le SUV à suivre, réconciliant technologie et tradition.

Enfin, la Smart #5 prouve qu’en 2025, ce sont les constructeurs capables d’écouter, d’innover et de s’adapter qui écriront le prochain chapitre de l’automobile. Pour découvrir toutes les évolutions de ce modèle, un détour par la revue complète de Paris-Normandie (Smart #5 bientôt moins électrique) ou l’actualité de 20 Minutes (La Smart #5 bientôt moins électrique) s’impose. Les retours d’expériences glanés sur le terrain abondent et témoignent d’un engouement croissant au-delà du public traditionnel de Smart.

  • Nouvelles routines d’achat : les clients privilégient désormais la flexibilité, quitte à délaisser des véhicules 100 % électriques jugés moins pratiques.
  • Retour du thermique maîtrisé : le moteur essence n’est plus banni, il devient partenaire de l’électrification et sécurise chaque trajet.
  • Marché mondial redéfini : face à ce type d’innovation, même les géants comme Nissan ou Ford réévaluent leur stratégie SUV.

L’arrivée de la Smart #5 hybride rechargeable marque, sans conteste, un tournant qui agite tout l’écosystème auto. Le segment SUV, plus compétitif que jamais, s’offre ainsi une nouvelle star qui n’a pas fini de faire parler d’elle, comme le confirme l’enthousiasme autour de la version lancée en Chine (Turbo).

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